Les négresses vertes - Voilà l'été

lundi 21 juin 2010




Voilà l'été
Voilà l'été
Voilà l'été
Voilà l'été

Voilà l'été, j'aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s'éclarcit
Et dans ma tête qui bourdonnent?
Les abeilles!
J'entends rougir les plaisirs de la vie
C'est le retour des amours
Qui nous chauffent les oreilles
Il fait si chaud
Qu'il nous poussent des envies
C'est le bonheur rafraîchi d'un cocktail
Les filles sont belles et les dieux sont ravis.

Enfin l'été
Enfin l'été
Enfin l'été
Enfin l'été

Enfin l'été.
Mais y a déjà plus d'argent
Le tout Paris se transforme en phobie
Le métro sue, tout devient purulent
Dans ses souliers, le passager abruti
A dix doigts de pied qui sexpriment violemment
Y a plus d'amis les voisins sont partis
L'été Paris c'est plutôt relaxant
On rêve de plage
Et la Seine est jolie.


Toujours l'été
C'est pas du superflu
Il fait trop chaud, le soleil m'abasourdit
Rillettes sous les bras
J'avance dans la rue
Je pense à ces cons qui se font chier dans le midi
Tous ces torche-culs qui vont cuire dans leurs jus
Tous ces noies, la mer quelle saloperie
Et sur les routes le danger ça vous tue
Vivement l'automne, je me sens tout aigri.

Toujours l'été
Toujours l'été
Toujours l'été
Toujours l'été

Voilà l'été, j'aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s'éclarcit
Et dans ma tête qui bourdonnent?
Les abeilles!
J'entends r0ugir les plaisirs de la vie
C'est le retour des amours
Qui nous chauffent les oreilles
Il fait si chaud
Q'uil nous poussent des envies
C'est le bonheur rafraîchi d'un cocktail
Les filles sont belles et les dieux sont ravis.

Voilà l'été
Enfin l'été
Toujours l'été
Encore l'été.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire